Fuku Hoshi

Fuku est une Kunoichi qui aime rester simple sans trop d'artifice pour ne pas attirer l'attention sur elle. Une brune de taille  moyenne au cheveux assez longs coiffés en batail pour lui donner une air de rebelle. Sur son visage, on peut distinguer un piercing à l'arcade, puis deux en dessous de sa lèvre inférieur répartit à gauche et à droite. Ses yeux son bleu et ses lèvres bien pulpeuse adoucissant nettement son visage le rendent agréable à regarder. A coup sûre, elle fera chavirer des cœurs!

Elle est dans la plupart du temps vêtue d'un débardeur noir moulant qui met extrêmement bien sa poitrine en valeur qui parfaitement proportionnée! Se haut, elle le choisie car il laisse apercevoir son tatouage qui recouvre son bras droit. Encore pour lui donner un genre diablesse, mais classique à la fois. Souvent elle se balade avec deux point américain aux mains, toujours prête à une éventuelle baston! Puis elle termine sa tenue avec un mini short, rendant ses mouvements plus souple et libre, et une paire de bottine en cuir (style Ranger's pour imager) qui font plus mal à l'impact!

Pour conclure, cette jeune femme est de taille moyenne et svelte, peu extravagante mais qui aborde son style bien particulier la rendant reconnaissable tout de même. Un ange déchu tombé du ciel. Mais méfiez-vous. "L'habie ne fait pas le moine!"

Fuku est une jeune fille qui a perdue ses parents plutôt jeune. Elle à donc appris d'elle même se qui lui a fait atteindre une maturité rapidement à un jeune âge. Elle est calme quand il le faut mais sait également faire exploser son caractère de guerrière en cas de besoin! La jeune femme est l'exemple type de la jeune fille de bonne famille et pourtant, Fuku a adopté un style vestimentaire indiquant légèrement le contraire. Ce qui laisse supposer que malgré tous, cette Kunoichi aime casser les idées toutes faites! Elle aime particulièrement terminer ce qu'elle commence , et cette diablesse aime par dessus tous quand c'est bien fait! Donc perfectionniste en plus de cela. Mais pas que!!!!
La Kunoichi est également fétichiste. Systématiquement, à chaque mission qu'elle fait, ou endroit où elle va, La jeune femme ramène un souvenir avec elle afin de marquer ce moment ou lieux qui ont connus son passage!

Elle reste à prendre avec des pincettes. Bien que Fuku soit calme, elle en reste pas moins sanguine si on lui manque de respect. Là où les shinobis traditionnel se battent au sabres et diverses objets tranchants, notre héroïne (l'individu, pas la drogue HEIN!) se bat à main nue ou avec ses poing américain. Elle aime dire que c'est ça manière de se sentir exister. Une fois lançait c'est une machine dévastatrice et sadique!

Je suis issue d’une famille des plus traditionnelles, ma jeunesse s’est déroulée dans les meilleures conditions qu’une jeune puisse espérer. Mes parents mon baignaient dans un amour inconditionnel, m’offrant une éducation des plus aimante mais strict à la fois. Les valeurs familiales sont pour nous un cadeau, le présent le plus précieux que ce monde nous ait fait. Vous l’aurez compris, nous sommes la famille type basique.
Mais études à l’académie se sont déroulées normalement. Mes talents en Taïjutsu ont fait de moi une Kunoichi puissante, a ne surtout pas sous-estimer. Le corps à corps est une passion. D’ailleurs, l’essence même de notre hiérarchie s’étend non pas en grade pour déterminer le rang de puissance, mais plutôt en cercle. Plus la maîtrise du Taï est poussé, plus on avance dans nos cercle. Il est inutile de préciser que plus le cercle est petit, et plus on est puissant. Ma mère elle, fait partie du premier cercle, le plus dangereux !
Mon père a suivi également cet entraînement fastidieux. Cependant, ses talents étaient tout autres. Il possédait quelque chose que peut de shinobi maîtrisaient, la foudre noire !
Il s’agissait en quelque sorte du Raiton, simplement cette dernière se matérialisée de couleur noire et semblait faire d’avantage de dégât que la traditionnelle foudre… Personne ne connaissait ces réelles propriétés. Tous ce qu’on savait d’elle, c’est qu’elle était dangereuse.

Je pense qu’il était inutile de le préciser, cependant, je le fait quand même. Notre clan est résident de Kumo, village très intéressant et riche de sa population ninja expert en beaucoup de domaine. Chez nous, on a des bourrins, des épéistes de renom. Mon père excelle dans cette maîtrise, même si nous ne disposons pas à l’inverse de Kiri, des célèbres épées légendaires.
Pourtant la maîtrise du Kenjutsu est plutôt impressionnante chez nous. Personnellement, cet art n’a encore jamais effleuré mon esprit. Certes, il est monstrueusement dangereux et fatal. Mais rien ne veut la puissance brute réelle selon moi, celle des poings. Ce bruit sourd lorsque l’on atteint sa victime, suivit du craquement des os se fissurant. Le visuel de l’épiderme qui bleuit et brunit après avoir était marqué par un coup puissant et précis ! Et surtout, l’excitation que cela me procure !! Je suis loin d’être dérangée mentalement si ça peut vous rassurer. Le taïjutsu est juste devenu une passion pour moi. Je dirais même qu’il est un fragment de ma personnalité.

Autre que mon devoir de Kunoichi, mes entraînements et missions. De mes temps libres, je prenais énormément de plaisir à dessiner et peindre. Cette distraction me permettait de m’évader et de penser à autre chose. Ça me détendait.
J’adorais également faire la cuisine pour aider ma mère. C’était une mère de famille débordée dans la vie réelle et donc, un coup de main lui faisait toujours du bien. Préparer des plats était pour moi une œuvre artistique ! Créer une assiette joliment décorée à partir du néant. Voilà une distraction forçant à se creuser les méninges !
Puis quand on a l’impression notre journée bien remplie est terminée, encore pour aider mes parents, je m’occupe de mon petit frère. Je n’en avais pas parlé encore ? C’est peut-être parce que c’est un nourrisson qui pour le moment, passe son temps à pleurer, manger et dormir ! Même si parfois il me tape sur les nerfs, c’est mon petit bout de cul préféré, mon tit frère à moi !

Une famille modèle ? Non je ne pense pas. Il est normal de recevoir tout l’amour nécessaire que des parents puissent donner. Je ne suis pas fainéante pour autant. Nous sommes le fruit d’un amour passionnel, voilà tous. Et chacun à notre manière, on leurs redonne. Moi en faisant toute les tâches ménagère que je peux faire pour les aider, et, de m’occuper de mon petit frère pour soulager ma maman qui le garde toute la journée, et lui, en donnant des sourire tout le temps à tout le monde !

A Kumo, je suis plutôt bien vu. J’ai des amis fidèles qui me poussent vers le haut. Je les aie tous rencontrés à l’académie pour la plus part. Sauf mon voisin évidemment. Lui je le connais depuis mon enfance ! On est nait presque ensemble, on grandit ensemble, et on s’est entraîné ensemble ! Il est aujourd’hui mon meilleur ami, mon confident. Je lui dis tous, et jamais il ne m’a trahi.
Quand je vous parlez de bretteur de talent, lui en faisait partie. Il avait une technique lui permettant de maitriser trois sabres en même temps. Le mec était bien motivé. Et puissant en plus. Nous faisions partie de la même équipe. Autant dire que le cocktail était des plus détonnant meurtrier.


~¤ La descente aux enfers ¤~

Encore une fois, mes parents furent appelés dans le but d’une mission bien précise, « mettre hors d’état de nuire les frères d’Or et d’Argent » ! A la base, ces deux-là étaient le fleuron, l’élite, le duo type avec qui tous Kumojins qui ce respect, voulait travailler. Cependant de nombreuse circonstance les firent dérouter jusqu’à ce que Kumo, les classe Nekunin est les pourchassèrent afin de les abattre. En effet, ils étaient redoutables et dangereux. Leurs exploits avec firent le tour du monde et, bercèrent à l’époque nous, enfant de Kumo, nos nuits de rêve.
Inutile de raconter leur déboire, ils contribuèrent à l’avancer de notre pays mais en même temps, nous avaient plongés dans une paranoïa sans précédent. Si bien que nos rapport avec les autres villages restaient plus que tendu. Bref.

Mes parents partirent alors tout deux accomplir leurs mission tandis que moi, je me retrouvais seule à la maison pour m’occuper de petit frère. Leur départ marqua une angoisse sans pareil et chaque qui passait sans eux, me rendait toujours plus inquiète de ne plus les revoir… Ils étaient partis avec une dizaine d’hommes pour stopper les deux monstres façonnés en grosse partie par Kyubi. Le séjour passé dans ses entrailles leurs avaient conférés un pouvoir dépassant l’entendement. C’est pour cela que le nombre de shinobi mobilisait importait peu pour notre dirigeant.

Cependant leurs stratégies étaient loin d’être au point… Il envoyait des vies précieuses et indispensables à la survie de notre nation. Quand ils rentrèrent de mission, plusieurs mois de traque et de combat passèrent. Le sang s’était déversé sur les terres de notre mon. Mais pas le leur. Forte heureusement pour moi, mon père et ma mère revinrent saint et sauf. Enfin, c’est ce qu’il semblait. Avec eux, un seul survivant. Tous autant désorientés les uns que les autres.
Suite à cette défaite, ma maman si mit à boire et à fumer. Chose qu’elle ne faisait pas auparavant… petit à petit elle se laissait sombrer dans une débauche qui lui fut fatale. Ces poisons eurent raison d’elle… Paix à son âme… Suite au décès de sa femme, mon père tomba gravement malade lui aussi. Surement la dépression de se retrouver seul, face à la vie, et, devant élever ses enfants sans l’aide de personne. Les médecins n’arrivaient pas à trouver la pathologie qu’il développait. De nombreux traitement lui furent attribués, mais ils ne faisaient que ralentir le processus. Sans le soigner. Elle finit à venir à bout de lui, le faisant partir dans une d’atroce douleur…
Une souffrance, tant de souffrance… Je me retrouvais à présent seule pour voir grandir mon petit frère. Je n’étais pas préparé à cela, si bien, que ma vocation de ninja fut légèrement mise de côté. Le jour, mère de substitution. Et la nuit, je m’entraînais pendant qu’il dormait…
A plusieurs reprises l’envie de sombrer comme eux effleurait mon esprit et pourtant, ce n’était pas le mode de vie qu’ils m’avaient enseignés. Par respect envers ces valeurs, mon devoir était de remonter la pente pour redorer le blason familiale, et voir ce petit être grandir, s’épanouir. Je lui enseignerais tous ce dont il a besoin de savoir ! En plus d’un frangin, il sera mon fils d’adoption ! Je n’en ressortirais que plus forte !!

~¤ Et voilà ¤~

Enfin, mon little boy que j’avais élevé jusque-là, rentra à l’académie de Kumo. Pour moi, c’était une réussite. Enfin je pouvais me consacrer un peu plus à ma personne pour évoluer, et, enchainer les missions pour gagner de l’argent afin de payer le loyer, acheter à manger, subvenir au maximum de nos besoin. Nous étions soudés plus que jamais ! Tous ce que je lui avais apportés il me le rendait au centuple ! Quelle joie. Nous n’étions plus que deux, mais une famille que rien ni personne n’arrêterait.

Toutes ces années. Le temps c’était écoulé et notre famille n’était pas morte. On continuait d’avancer la tête haute, laissant le passé derrière nous, œuvrant pour que notre village nous reconnaisse enfin comme des éléments prodigieux. Quel autre but réel dans la vie ? Je n’en voyais pas. Mis à part, m’élever le plus haut possible pour rendre hommage à mes défunts parent, m’élever jusqu’à toucher les astres célestes illuminant nos nuit, berçant nos sommeil. J’irais jusqu’au bout pour devenir la personne la plus influente du pays, diriger les troupes d’une main de fer, impartiale et victorieuse. Mais donnant un droit de parole au peuple. Les frères d’or et d’argent étaient mes démons. Je les combattrais jusqu’au bout, je les pourchasserais jusqu’à les anéantir. Leurs dépouilles seront offertes à Konoha pour tous les affronts odieux qu’ils ont commis. Vous l’aurez compris. Ce sont mes ennemis d’état numéro un. Et mon frère. Il me suivra jusqu’au bout !

On m’a toujours dit depuis ma naissance. Que chaque existence est prédéfinie. Que les rencontres, ce que l’on devient, tous ! Tous est déjà inscrit. Soit, mais je ne suis pas forcément de cet avis. Nous devenons seulement ce que l’on veut être. Nos choix, les chemins empruntés. Ils restent personnels. Tout reste à faire. Nous sommes maîtres de notre destin et ça rien ni personne n’y peut quelques chose. Seulement et simplement nous.